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Neurosciences
Depuis près de 60 ans, Johnson & Johnson Innovative Medicine est investi dans les neurosciences, historiquement en psychiatrie, plus récemment dans la dépression, et dans la sclérose en plaques.
Pionnier de la recherche en santé mentale, le laboratoire Johnson & Johnson Innovative Medicine fut à l’origine de nombreuses innovations dans la prise en charge des pathologies mentales, visant à redonner aux patients une autonomie progressive.
Johnson & Johnson Innovative Medicine œuvre pour améliorer le quotidien des malades et travaille à développer une meilleure prise en charge globale de leurs pathologies pour ceux dont l’état serait le plus grave. Grâce à ses projets de recherche innovants, Johnson & Johnson Innovative Medicine contribue à faire émerger de nouvelles solutions thérapeutiques qui mettent l’autonomie du patient au premier plan.
Psychiatrie
L’OMS estime que 25 % de la population mondiale est concernée à un moment ou un autre de sa vie par un trouble mental qui demeure au 3ème rang des maladies les plus fréquentes après le cancer et les maladies cardiovasculaires1 !
Notre ambition est de continuer à développer des traitements améliorant la qualité de la prise en charge de millions de patients qui souffrent de troubles neuropsychiatriques. Aujourd’hui, nous sommes déterminés à maintenir l’innovation dans la recherche et le développement afin de répondre aux besoins non satisfaits dans le spectre des troubles psychiatriques.
Johnson & Johnson Innovative Medicine axe ses efforts sur le développement de médicaments susceptibles d’agir sur la cognition, l’humeur, la psychose et la douleur chronique, et a déjà développé et mis à disposition entre autres des solutions thérapeutiques pour lutter contre la schizophrénie, la dépression, la démence et plus récemment la sclérose en plaques.
Notre expertise se concentre sur plusieurs pathologies neurosciences et en psychiatrique :
Schizophrénie
Démence
Il s’agit de l’une des principales causes de déficience visuelle dans le monde et, bien que la majorité des cas de RP soit non-syndromique, 20 à 30% des patients atteints de RP présentent également une affection non-oculaire associée.
Notre Engagement dans l’amélioration du parcours de soins des patients
Retrouvez quelques-unes de nos initiatives sur la page qui leur est dédiée.
En savoir plus sur SEP sur 7.
Notes
1 Observatoire de la Santé, Santé Mentale. [En ligne, publié le 17 mars 2017, consulté le 14/12/2023]
2 INSERM, Schizophrénie. [En ligne, consulté le 14/12/2023]
3 Organisation Mondiale de la Santé, Dépression. [En ligne, publié le 31 mars 2023, consulté le 14/12/2023]
4 Santé Publique France, Léon Cet al. La dépression en France chez les 18-75 ans : résultats du Baromètre santé 2017.. [En ligne, publié en 2017 et consulté le 14/12/2023].
5 Haute Autorité de Santé (HAS), Épisode dépressif caractérisé de l’adulte : prise en charge en soins de premier recours. [En ligne, publié en octobre 2017 et consulté le 14/12/2023]
6 Haute Autorité de Santé (HAS), Affections psychiatriques de longue durée - Troubles dépressifs récurrents ou persistants de l’adulte. [En ligne, publié en février 2009 et consulté le 14/12/2023]
7 Organisation Mondiale de la Santé, « La dépression : parlons-en » déclare l’OMS, alors que cette affection arrive en tête des causes de morbidité. [En ligne, publié le 30 mars 2017 et consulté le 14/12/2023]
8 Organisation Mondiale de la Santé, Démence. [En ligne, publié le 15 mars 2023 et consulté le 14/12/2023]
CP-493229 – 01/2025